« Le film montre tout, dissèque sans discourir, se
méfie de l’émotion car qui est ému ne peut comprendre,
qui pleure ne voit plus rien. C’est en cela
que « Garage Olimpo » est un film important.»
(Le Nouvel Observateur)

       María, qui enseigne la lecture et l’écriture dans les bidonvilles de Buenos Aires, lutte contre la dictature argentine. Un matin, un escadron de militaires en civil l’enlève sous les yeux de sa mère et l’emmène au Garage Olimpo, un des nombreux lieux de torture de la ville. Afin de faire parler Maria, le responsable du centre confie l’interrogatoire a l’un de ses meilleurs hommes. Maria reconnaît en lui le timide Felix, un de ses soupirants. Sa survie, son seul espoir de salut, c’est lui, son tortionnaire.